Concert Chez Chriss le 13 avril : Grand Final !
Grand final
Vendredi 13 avril à 20h
Chez Chriss - Evreux
Grand Final est un duo havrais composé de Doris et Jean-François Thieulen, deux ex- Dickybird, qui, depuis 10 ans, fait un petit peu ce qu’il veut quand il veut.
Lui est batteur, elle, guitariste chanteuse. Leur registre : des sphères noise rock indéterminées ou volontairement indéterminables. Parce le duo ne souhaite toujours pas être estampillé ceci ou cela.
C’est simplement rock, brutal ou parfois doux. C’est influencé par tous les répertoires qui ont achalandé les registres du rock bruitiste et revendicatif des 50 dernières années.
50, parce que Grand Final a été nourri par Les Stooges tout autant que par Nirvana. Par Oxbow tout autant que par Neurosis. Par Jesus Lizard tout autant que par Natacha Atlas.
Le monde musical est vaste. Pourquoi se priver de voyager et de faire des étapes ?
Le groupe a sorti en 2009 un premier album intitulé « The Bridge » enregistré sous la houlette de Joe Goldring (Swans, Enablers). Puis après une pause indépendante de sa volonté, parce que la vie fait parfois quelques croche-pieds inattendus, il a remis le couvert récemment avec un nouvel opus intitulé « La Mort » enregistré avec Nicolas Dick (Kill The Thrill), éternel compère de Dickybird et le même Joe Goldring. Pour cet enregistrement, Grand Final a opté pour une méthode inédite : confier ses compos à ces deux acolytes pour leur permettre d’y apporter les arrangements qui les chantaient. Résultat des courses, un disque bluffant ; quelque chose de très produit, très esthétique qui tranche avec la brutalité épurée des deux époux quand ils jouent live.
Une expérience formidable qui sera déclinée sous la forme d’un magnifique coffret 4 x 45 tours illustré par Marion Ruszniewski et Marie Trolliet, deux talentueuses photographes.
Sur scène, Grand Final, c’est abrupt, sans concession, tranchant et très noir.
Autant vous prévenir : on ne viendra pas animer vos bals de quartier.
Lui est batteur, elle, guitariste chanteuse. Leur registre : des sphères noise rock indéterminées ou volontairement indéterminables. Parce le duo ne souhaite toujours pas être estampillé ceci ou cela.
C’est simplement rock, brutal ou parfois doux. C’est influencé par tous les répertoires qui ont achalandé les registres du rock bruitiste et revendicatif des 50 dernières années.
50, parce que Grand Final a été nourri par Les Stooges tout autant que par Nirvana. Par Oxbow tout autant que par Neurosis. Par Jesus Lizard tout autant que par Natacha Atlas.
Le monde musical est vaste. Pourquoi se priver de voyager et de faire des étapes ?
Le groupe a sorti en 2009 un premier album intitulé « The Bridge » enregistré sous la houlette de Joe Goldring (Swans, Enablers). Puis après une pause indépendante de sa volonté, parce que la vie fait parfois quelques croche-pieds inattendus, il a remis le couvert récemment avec un nouvel opus intitulé « La Mort » enregistré avec Nicolas Dick (Kill The Thrill), éternel compère de Dickybird et le même Joe Goldring. Pour cet enregistrement, Grand Final a opté pour une méthode inédite : confier ses compos à ces deux acolytes pour leur permettre d’y apporter les arrangements qui les chantaient. Résultat des courses, un disque bluffant ; quelque chose de très produit, très esthétique qui tranche avec la brutalité épurée des deux époux quand ils jouent live.
Une expérience formidable qui sera déclinée sous la forme d’un magnifique coffret 4 x 45 tours illustré par Marion Ruszniewski et Marie Trolliet, deux talentueuses photographes.
Sur scène, Grand Final, c’est abrupt, sans concession, tranchant et très noir.
Autant vous prévenir : on ne viendra pas animer vos bals de quartier.